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          Journaux quotidiens : nouveau blocage de la CGT du livre

          • Home ECONOMIE Médias & Publicité
            • Par Alexandre Debouté
            • Mis à jour le 03/07/2012 à 21:25
            • Publié le 03/07/2012 à 19:35
          À l'appel de la Filpac-CGT, tous les titres de la presse quotidienne nationale, régionale et départementale ne paraîtront pas jeudi

          À l'appel de la Filpac-CGT, tous les titres de la presse quotidienne nationale, régionale et départementale ne paraîtront pas jeudi Crédits photo : PHILIPPE HUYNH-MINH/MAXPPP/MAXPPP

          Le Syndicat de la presse quotidienne nationale dénonce une « prise en otage » qui ne fait qu'aggraver la situation de journaux déjà affaiblis

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          Les Français devront se passer de journaux jeudi. À l'appel de la Filpac-CGT, tous les titres de la presse quotidienne nationale, régionale et départementale ne paraîtront pas. Le syndicat, qui compare le secteur à un «vaste champ de licenciements», veut mobiliser ses troupes alors que le nouveau gouvernement commence à prendre ses marques sur les différents dossiers et que plusieurs échéances cruciales attendent la filière dans les prochaines semaines.

          «Tous les groupes de presse s'engagent dans une logique destructrice: réduire au minimum le coût du travail dans les journaux papier pour dégager des marges de manœuvre dans le numérique. Il faut repenser ce modèle», justifie Marc Peyrade, secrétaire général de la Filpac-CGT, qui dresse une liste non exhaustive de plans sociaux qui touchent en ce moment la presse écrite: Hersant (Paris Normandie, L'Union…), Presstalis, EBRA (pôle de presse gratuite), France-Soir… Le syndicat demande un moratoire sur les licenciements, l'intervention du gouvernement pour définir les obligations des patrons de presse et la tenue d'un débat public sur l'avenir du secteur.

          Cet appel à une «journée sans presse» est vécu comme une «prise en otage» par le Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) qui dénonce une «attitude de blocage qui entrave systématiquement les chances de développement et de succès de la presse» et appelle les lecteurs à se rendre sur les sites Internet des journaux. «Au lieu de trouver des solutions, la Filpac accélère une mutation qu'elle prétend combattre», s'indigne Marc Feuillée, président du SPQN et directeur général du groupe Le Figaro.

          De son côté, le Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR) condamne une «attitude in­transigeante, destructrice de valeur (…) qui ne réglera rien mais affaiblira un peu plus les journaux». Il rappelle que la contraction brutale du marché publicitaire depuis 2009 a dégradé la situation des entreprises de presse au point de remettre en cause la survie de plusieurs titres. «Une réalité difficile et inédite qui appelle des attitudes nouvelles», souligne le SPQR, qui estime qu'une négociation spécifique dans chaque entreprise concernée doit être le «moyen privilégié de parvenir aux nécessaires solutions avant qu'il ne soit trop tard».

          Le SNJ pas solidaire

          Cette vision tranche avec celle de la Filpac-CGT qui veut faire de la question sociale dans la presse un débat national avec les pouvoirs publics. Une posture à laquelle n'adhère pas non plus le principal syndicat de journalistes, qui a décidé de ne pas s'associer au mouvement. «Nous avons longtemps été proches de la Filpac, mais là ­l'attelage ne tient plus», explique Vincent Lanier, secrétaire général du SNJ.

          Pour Louis Dreyfus, président du directoire du groupe Le Monde, cette mobilisation est symptoma­tique de l'extrême inquiétude des salariés face à la vitesse de transformation de l'industrie de la ­presse. «Même si l'organisation d'un débat public du type états généraux de la presse n'est pas forcément souhaitable, les pouvoirs publics ne peuvent rester inactifs et silencieux face à cette situation», estime-t-il.

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          » La présidentielle a profité aux quotidiens en mai

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          3 commentaires

          • Avatar
            ousaou

            Le monde change et tout est toujours pareil? Il faut croire qu’une presse nationalisée est l’enjeu que la CGT veut. Est-il possible que la CGT préfère propagande à une presse libre. Il est vrai que la CGT n’est pas particulièrement de droite. La liberté d’expression peut être kidnappée pour le bien des salariés! La liberté d’expression demande la liberté d’accès. Une presse financée par l’état sera de la couleur de son propriétaire. Le gouvernement n’est pas un organisme à accepter qu’elle qu’opposition qui soit. Profit est secondaire! L’impôt subventionneras l’emploi.

            Le 04/07/2012 à 15:36
            AlerterRépondre
          • Avatar Abonné
            roca001

            La CGT a fait allégeance à F. Hollande lors de la campagne présidentielle, faut voir dans ce black out un message présidentiel à destination de la presse ? De la même façon M. Sarkozy a reçu le sien grâce à la justice, et Microsoft, également, grâce à la police fiscale.

            Le 04/07/2012 à 10:50
            AlerterRépondre
          • Avatar
            anglophile

            moi, je souhaiterais une enquête et un "moratoire" sur l'emprise des partis politiques de gauche, sur le syndicat CGT du livre, car les dernières élections présidentielles ont démontré la "collusion" effective du syndicat du livre avec le parti socialiste et dans un pays soi-disant libre c'est inadmissible!!!!

            Le 04/07/2012 à 09:17
            AlerterRépondre
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